metier, convention collective, documents pro

Je suis en pleine réflexion sur l'établissement d'un contrat d'accueil.

Actuellement, je n'établis qu'un contrat de travail dans lequel les parents et moi essayons de noter le plus de choses possibles concernant purement le travail (horaires, semaines de congés, rémunaration) mais aussi de mettre noir sur blanc le maximum d'éléments concernant l'éveil, le développement, l'alimentation de bébé.

Grâce au blog de Pascale, j'ai trouvé différents modèles.

Un projet d'accueil sur le site du conseil général de la Saône et Loire ici

Une charte pour un projet commun d'accueil sur le site de l'unaf ici

Dans un contrat d'accueil, il est ainsi possible de mieux détailler les attentes des parents, les propositions de l'assistante maternelle dans différents domaines, de noter tout ce qui semble important aux 2 parties :

la période d'adaptation

les fournitures

le sommeil

l'alimentation

les principes éducatifs

l'éveil

la santé

les activités

les sorties

les autorisations

Je vais donc essayer de proposer pour les prochains contrats, un double contrat (travail + accueil) ce qui permet de noter plus d'éléments.

C'est le titre d'un article trouvé sur le site "assistane maternelle magazine".

Une étude, publiée dans un journal américain "Human Lactation", établit un lien entre le niveau social de la mère et la durée de son allaitement. Les femmes ayant un niveau éducatif plus élevé donneraient le sein plus longtemps.

Qu'en pensez-vous?

Personnellement, je trouve que le choix "allaitement ou biberon" est tout d'abord une envie de la mère et du père du futur bébé.

Quel que soit le choix des parents, le bébé retire du moment du repas, la nourriture vitale, mais bien plus encore : il tisse du lien avec ses parents. Il est donc important que l'allaitement ou le biberon soit un choix assumé et non un choix poussé par l'entourage.

Le niveau d'études de la mère ne me semble pas avoir une influence quelconque dans ce choix...

La base mensuelle de calcul des prestations familiales et les plafonds de ressources retenus pour le versement des prestations sont habituellement revalorisés, au 1er janvier de chaque année, conformément à l’évolution en moyenne annuelle des prix à la consommation hors tabac de l’année civile de référence. 

En raison du "contexte de l’aggravation des déficits publics", la loi n° 2011-1906 du 21 décembre 2011 de financement de la sécurité sociale pour l’année 2012 prévoit de déroger à cette règle pour 2012.

Le montant des plafonds de ressources permettant le bénéfice de certaines prestations familiales est revalorisé forfaitairement de 1% au 1er janvier 2012 indépendamment de l’évolution annuelle moyenne des prix à la consommation. La revalorisation de la base mensuelle des allocations familiales, fixée forfaitairement à 1%, sera quant à elle reportée au 1er avril 2012.