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Nouvelles recommandations pour le sommeil

Publié le par Isabelle (nounou)

Je vous fais partager un article concernant le sommeil que je viens de lire sur le site : 

Nouvelles recommandations pour le sommeil
"À chaque âge son quota de sommeil : nouvelles recommandations


 

Pour la première fois, l'Académie américaine de la médecine du sommeil a établi des recommandations officielles concernant le nombre d'heures de sommeil des bébés, des enfants et des adolescents.
13 experts, agréés par l’Académie américaine de pédiatrie, ont ainsi déterminé que pour une santé optimale :

Entre 4 à 12 mois, les bébés devraient dormir entre 12h à 16h par 24h, siestes comprises.

- Les 1-3 ans devraient bénéficier de 11h à 14h de sommeil par 24 heures, siestes comprises.

- Entre trois et cinq ans, 10h à 13h de sommeil sont nécessaires.
- A partir de 6 ans et jusqu’à 12 ans, les enfants devraient dormir entre 9h et 12h, tandis que les 13-18 ans auraient besoin de dormir entre 8 et 10 heures par nuit.


Ces experts ont constaté que ces quotas permettent d'améliorer l'attention, le comportement, l'apprentissage, la mémoire, la régulation émotionnelle, la qualité de vie ainsi que la santé mentale et physique. A contrario, le manque de sommeil est associé notamment à un risque accru d'accidents, de blessures, d’hypertension, d’obésité, de diabète et de dépression. Ils pointent tout particulièrement les ados chez lesquels le manque de sommeil serait lié à un risque plus important de tentatives de suicide ou d'automutilation.
Dans leurs conclusions, ces spécialises estiment que les bienfaits du sommeil exigent non seulement une durée suffisante mais aussi un moment approprié, une régularité quotidienne et l'absence de troubles du sommeil.
Ces recommandations reposent sur l'analyse de plus de 860 études scientifiques portant sur la relation entre la durée du sommeil et la santé des enfants."

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Nounou clé en mains

Publié le par Isabelle (nounou)

Voici un site qui peut rendre service aux parents employeurs et aux assistantes maternelles car Julie la créatrice, propose de l'aide pour les calculs, les attestations, etc.

Ces services sont gratuits ou payants selon le cas. Allez jeter un coup d'oeil à son site!

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Les Grands Rendez-vous de la Petite Enfance

Publié le par Isabelle (nounou)

Je vous présente aujourd'hui un site gratuit qui organise plusieurs actions en faveur du lien parents-enfants-professionnels de la petite enfance.

Ce site propose par exemple des e-Boîtes Petite Enfance (site gratuit à destination des parents et des pros avec conseils et ateliers-jeux pour l'éveil des 0-3 ans) qui traitent de diverses thèmes et notamment de celui de la future rentrée à l'école qui est un thème particulièrement d'actualité!!!

 

Depuis 2 ans, le site a mis en place "La Grande Semaine de la Petite Enfance" que j'ai découverte trop tard cette année à mon grand désarroi!! Je ne manquerai pas de m'y inscrire l'année prochaine.

 

Alors n'hésitez pas à leur faire une petite visite pour découvrir tout l'univers de la petite enfance vu du côté des parents ou des professionnels de la petite enfance...

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Apprendre les gestes qui sauvent

Publié le par Isabelle (nounou)

Voici mon programme pour samedi matin!!

Je vais participer à une matinée de mise à niveau du PSC1 avec la Croix Rouge de Riom.

En tant qu'assistante maternelle, j'ai pu m'inscrire à cette formation proposée par les RAM du secteur. Nous avions le choix entre la formation initiale ou si nous avions déjà le diplôme de PSC1 nous pouvions choisir la mise à niveau.

 

A la Une
AUVERGNE > CLERMONT-FERRAND 07/05/16 - 09H00
Parents, apprenez à sauver vos enfants !

 

Serge Dauzat, moniteur secouriste à la Croix-Rouge et Mireille Bretogne, vice-présidente de la commission prévention-promotion de la santé à Harmonie mutuelle (à droite) ont proposé à une vingtaine de mamans sur deux jours, à Clermont-Ferrand, d’apprendre à utiliser un défibrillateur et à faire un massage cardiaque. - Manon Saby

Serge Dauzat, moniteur secouriste à la Croix-Rouge et Mireille Bretogne, vice-présidente de la commission prévention-promotion de la santé à Harmonie mutuelle (à droite) ont proposé à une vingtaine de mamans sur deux jours, à Clermont-Ferrand, d’apprendre à utiliser un défibrillateur et à faire un massage cardiaque. - Manon Saby

Être parents, ce n’est pas facile tous les jours. Autant se faire à l’idée et connaître deux ou trois gestes qui peuvent sauver la vie de nos enfants !

Le berlingot rose de lessive vite avalé, la petite main sur la semelle du fer chaud, la cacahuète coincée dans la trachée… Sans oublier la cascade à vélo, sur le skate ou le mur ! Pour les petits bobos d’enfants, il y a les bisous magiques. Mais pour les gros ?

Quels sont les gestes qui sauvent à connaître à tout prix ? Le point avec Serge Dauzat, moniteur secouriste à la Croix-Rouge à Clermont-Ferrand, dans le cadre d’un atelier de formation proposé aux parents par Harmonie Mutuelle (*).

1. L’enfant s’étouffe. Lorsqu’un objet se coince dans la trachée, un aliment, un petit jouet, il n’y a pas de cris ou de râles. L’enfant cherche l’air mais il n’a pas perdu connaissance. Le premier conseil simple est de lui demander de tousser. Sans effet, il faut lui taper dans le dos. Si cinq secousses ne suffisent pas, faire cinq compressions abdominales au niveau du sternum, en dessous d’une ligne imaginaire réunissant les mamelons de l’enfant. Si la situation ne s’améliore pas, composez le 15.

S’il a avalé un produit dangereux, surtout ne pas le faire boire car cela augmente le volume, et risque de faire mousser le produit. Il ne faut pas non plus faire vomir votre enfant. Le produit a provoqué des dégâts dans un sens, inutile d’en faire d’autres dans l’autre sens. En partant aux urgences, n’oubliez pas le produit en cause pour que le médecin puisse voir la composition.

2. L’enfant a une plaie étendue. Le couteau était au mauvais endroit ou la petite main s’est égarée vers un appareil électrique en fonctionnement. La première chose à faire est d’arrêter le saignement par une compression manuelle avec un linge propre sur la plaie. On peut asseoir l’enfant contre un mur dans la position où il est le mieux. Si la plaie est au ventre, il ne faut pas l’allonger car cela étire l’organe touché et accélère la perte de sang. Ou alors, il faut relever les jambes.

En cas de doigt (ou autre) coupé, il faut récupérer le doigt, le mettre dans un linge propre, puis dans un sachet plastique et enfin sur de la glace. Jamais directement au contact de la glace, cela provoque des brûlures.

 

3. L’enfant inconscient qui respire. Si l’enfant fait un malaise, par exemple, après un choc, une chute, et qu’il respire, il faut libérer les voix aériennes en inclinant la tête vers l’arrière et préserver les poumons en cas de vomissements en mettant l’enfant en position latérale de sécurité, peu importe le côté. La bouche doit être légèrement ouverte et tournée en direction du sol pour que les éventuels vomissements s’évacuent ailleurs que dans la trachée. S’il ne revient pas à lui, appelez les secours. Dans tous les cas, si le choc a eu lieu à la tête, rendez-vous aux urgences. Il peut y avoir une hémorragie invisible à l’œil nu. Ne l’envoyez pas au lit, il pourrait ne pas se réveiller !

4. L’enfant inconscient qui ne respire pas. La priorité, c’est d’appeler le 15. L’idéal est d’avoir quelqu’un avec vous qui s’en occupe pendant que vous prenez les mesures d’urgence : le massage cardiaque. Il faut allonger l’enfant sur un plan dur, faire cinq insufflations dans la bouche (en bouchant le nez) et trente massages. À une ou deux mains, mais toujours avec le plat de la main ou deux doigts pour un bébé, appuyez sur le sternum au milieu de la poitrine, placez-vous bien à la verticale, bras tendus, coudes verrouillés. Puis deux insufflations, et encore 30 massages. On continue jusqu’à l’arrivée des secours. Si vous avez un défibrillateur, allumez-le et suivez les indications de la voix préenregistrée, tout en poursuivant le massage.

5. Petits conseils utiles. Toujours laver une plaie à l’eau avant de la désinfecter. Préférez la compresse au coton. Évitez les produits colorés, car ensuite le médecin ne voit plus rien.

Si l’œil est touché, par une épine de buisson par exemple, attention à ne pas perdre le liquide de l’œil (qui ressemble à des larmes !) : allonger l’enfant, maintenir la tête et masquer l’œil. Il ne faut pas qu’il bouge.

En cas de brûlure, on considère que c’est grave lorsque la surface brûlée dépasse la moitié de la paume de la main de la victime. Pour les bébés, c’est la moitié du pouce. Direction les urgences. En attendant, ne rien mettre dessus, mais arrêter la brûlure avec de l’eau froide. Ne pas souffler dessus au risque d’infecter la plaie. Dernier conseil, votre enfant est tombé, il y a risque de fracture : ne le touchez pas, ne le relevez pas. 

Cécile Bergougnoux
cecile.bergougnoux@centrefrance.com

(*) La mutuelle propose régulièrement ce type d’atelier à ses adhérents dans le cadre de son programme d’actions de prévention.

Source Journal La Montagne

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L'acquisition de la propreté

Publié le par Isabelle (nounou)

Je vous propose un article trouvé sur le blog du RAM d'Issoire.

Il est clair, détaillé et complet.

Je n'aurais pas dit mieux... et je vais d'ailleurs insérer ce texte dans mon livret d'accueil!!

L'acquisition de la propreté

"Bonjour,

 

L'acquisition de la propreté est une préoccupation qui traverse toute famille lorsque les enfants approchent des 2 ans, notamment dans la perspective de l'entrée à l'école...

De fait, les personnes qui accueillent des enfants de moins de 3 ans (assistantes maternelles, personnel de structures collectives, grands-parents ou autres membres de la famille...) vont aussi être concerné-e-s par cette étape.

 

Première chose à savoir, et qui est de toute importance :

Tous les enfants deviendront propres entre 2 et 4 ans (un peu avant ou un peu après, selon les enfants), de manière naturelle, pour peu qu'on leur ait expliqué l'utilité de l'être, et l'endroit dans lequel cela se fait !

C'est-à-dire que cela est inscrit dans le développement ordinaire des enfants, et sauf pathologie particulière décelée par un médecin (énurésie avérée, encoprésie...voir définitions plus bas), il n'y a pas besoin d'apprentissage, mais seulement d'un accompagnement bienveillant.

Nous parlons ici de la propreté diurne. On considère, dans la plupart des cas, qu'elle est définitivement acquise à 5 ans (ce qui fait relativiser sur l'âge !).

 

  • Etre propre, qu'est-ce que ça veut dire ?

Cela signifie que l'enfant perçoit de lui-même son besoin (sensation d'inconfort), qu'il en a conscience (ce n'est plus un réflexe), qu'il peut se retenir (en contractant ses sphincters), qu'il est capable d'aller tout seul aux toilettes ou sur le pot (ou de demander, s'il est dans un endroit inconnu) puis de relâcher pour se soulager.

A ce moment-là, on peut parler de propreté acquise car il n'y a PAS d'intervention de l'adulte.

 

  • Quelles sont les conditions nécessaires à cette acquisition ?

On dit que l'enfant doit être "prêt", et ce que l'on entend par là c'est :

  1. une maturité physiologique
  2. une maturité intellectuelle
  3. une maturité affective.

 

Ces 3 conditions doivent être réunies, afin que cette étape se franchisse sans encombre.

 

  • La maturité physiologique concerne le fontionnement du corps : l'enfant doit pouvoir contracter et/ou relacher ses muscles sphinctériens de manière consciente et volontaire, et non plus par réflexe.

Ce qu'on appelle les sphincters, ce sont les muscles qui commandent l'ouverture et la fermeture de la vessie et du rectum.

Pour cela, il faut que certaines terminaisons nerveuses soient achevées. Quelques indices peuvent nous le montrer, comme par exemple, lorsque l'enfant sait monter un escalier seul, en alternant les pieds. Cependant, cet indice à lui seul ne suffit pas pour dire que l'enfant est prêt, car, il manque les 2 autres conditions...

 

  • La maturité intellectuelle suppose que l'enfant comprend ce que l'on attend de lui, qu'il en perçoit  un intérêt pour lui-même, qu'il a compris à quoi servent le pot et/ou les toilettes. Encore une fois, il peut tout à fait avoir compris, mais ne pas en être encore capable, physiologiquement, ou affectivement...Cette compréhension des choses est personnelle à chaque enfant. Il nous la montre soit à l'aide du langage, soit dans ses jeux, lorsque, par exemple, il installe nounours ou poupées sur le pot...

 

  • La maturité affective est d'une nature un peu plus complexe. Elle signe l'acceptation de l'enfant à bien vouloir grandir. Et grandir, c'est renoncer : renoncer aux couches, renoncer aux moments de soins lors des changes, abandonner son état de "bébé" pour devenir grand. Ce n'est pas facile pour l'enfant, qui se trouve souvent dans cette ambivalence : "je suis grand, mais quand même, je suis encore petit" !

Donc, cette maturité suppose que l'enfant a le désir d'être propre, et qu'il ACCEPTE (en plus de le comprendre) ce qu'on attend de lui...

 

  • Comment s'y prendre ?

 

Pas de recette miracle, mais quelques recommandations, et surtout certaines choses sont à éviter.

Patience, observation et bienveillance seront utiles à chaque parent ou adulte, pour accompagner au mieux l'enfant dans cette acquisition.

En s'aidant des 3 conditions expliquées ci-dessus, on peut facilement repérer où en est l'enfant dans sa compréhension des choses.

Ainsi, viendra le moment où il sera judicieux de sortir le pot et d'expliquer à quoi il sert, ou bien de montrer les toilettes et ce qu'on y fait !

L'enfant pourra s'asseoir sur le pot tout habillé au début, ou y mettre les poupées. De même, il sera intéressé de savoir ce qui se passe dans les toilettes... Ce sont des étapes intermédiaires.

Progressivement, on pourra proposer à l'enfant d'aller sur le pot, puis de ne pas mettre de couches, tout en s'assurant que cela ne le met pas en difficulté. Peut-être qu'il demandera de lui-même à ne plus porter de couches.

Verbaliser ce qui se passe, mettre des mots simples : "on dirait que tu as envie de faire pipi, tu peux venir le faire sur le pot", ou "tu vois, tu as fait (pipi ou caca) dans ton pot. C'est bien, tu grandis.".

On peut proposer à l'enfant de se déshabiller tout seul, d'enlever sa couche, de vider son pot tout seul dans les toilettes, et de tirer la chasse. Cela participe au processus d'autonomie, et valorise l'enfant dans la globalité de cette acquisition (je me déshabille tout seul, j'enlève ma couche et je vide mon pot...)

Cela peut être nécessaire d'expliquer à l'enfant ce qui se passe dans son corps : transformation de la nourriture et évacuation des déchets inutiles...

 

Ce qu'il faut éviter :

 

  • S'il est judicieux de proposer le pot plusieurs fois dans la journée à l'enfant au début, il est en revanche inutile de l'y mettre à heure fixe, ou toutes les 2 heures : en effet, il y a de fortes chances que cela "marche", parce que cela va correspondre au besoin naturel de l'enfant de faire (ou parce que l'on aura remarqué que l'enfant fait dans sa couche à telle heure...), mais il ne s'agira que d'un acte réflexe. Cela peut nous faire croire que l'enfant est propre, et le mettre en situation d'échec lorsqu'il sera confié à l'assistante maternelle, à la crèche ou à l'école, sans couche, et présenté comme étant "propre".

(C'est sûrement ce qui se passe pour les personnes, qui, en toute bonne foi disent "les miens étaient propres à 1 an"...)

En cas de doute, relire la définition plus haut !

 

  • On peut encourager l'enfant mais le féliciter à outrance ou le récompenser vient contredire l'idée que c'est un besoin physiologique personnel. On ne fait pas pour faire plaisir à papa, maman, nounou ou mamie, et ce n'est pas un cadeau (qu'en plus, on va jeter dans les toilettes !!!) !

 

  • Eviter de contraindre l'enfant, de le laisser des heures sur le pot, de le distraire pour qu'il reste sur le pot... Toutes ces attitudes risquent de parasiter son acquisition en l'éloignant de l'objectif principal qui est : ressentir et percevoir son besoin, afin de pouvoir le soulager.

 

  • Eviter de punir, fâcher lorsqu'il ne réussit pas, ou lorsqu'il y a des "accidents". S'il ne fait pas sur le pot, ou s'il y a beaucoup "d'accidents", c'est que c'est trop tôt. Alors, il vaut mieux renoncer et lâcher prise pour quelques jours, en parler sereinement avec l'enfant, et retenter plus tard lorsque ce dernier semble davantage prêt.

Par ailleurs, lorsqu'une pression trop grande pèse sur les enfants, ceux-ci peuvent, par un réflexe d'auto-protection, se braquer et refuser totalement de faire ce que l'on attend d'eux. Ceci mène en général au conflit et aux rapports de force. Or, nous savons bien que ce type de rapports est inutile et préjudiciable à un développement harmonieux.

   De plus, dans sa résistance à l'adulte, l'enfant peut développer des problèmes de constipations et/ou d'encoprésie plus ou moins graves et intenses...

 

 En conclusion, lorsque les 3 conditions de maturité sont réunies, l'acquisition de la propreté est une affaire de quelques jours, voire de quelques semaines, mais pas plus.

Un apprentissage dès 1 an est une aberration au regard des connaissances scientifiques actuelles sur le développement des enfants, et comporte des risques pour la santé de l'enfant.

L'acquisition de la propreté n'est pas un "dressage", mais simplement un accompagnement bienveillant de l'enfant dans sa compréhension des choses, dans la perception de ses sensations corporelles (je sens que j'ai envie de faire...), pendant lequel on va le guider avec des mots, des exemples...

La perspective de l'entrée à l'école, ne doit pas nous faire perdre de vue le bien-être de l'enfant.

***********************************************

Définitions :

Encoprésie : L'encoprésie est la défécation "involontaire" ou délibérée dans des endroits non appropriés chez un enfant d'âge chronologique et d'âge mental d'au moins 4 ans. Pour porter ce diagnostic, il faut que ce trouble survienne de façon durable (depuis au moins 6 mois) à une fréquence d'au moins une fois par mois.

(Source : http://www.doctissimo.fr/html/sante/encyclopedie/sa_1281_encopresie.htm )

Enurésie : Le " pipi au lit" ou énurésie atteint environ 10 % des enfants, et plus fréquemment les garçons que les filles. L'énurésie est une miction active, complète, inconsciente, involontaire, se produisant pendant le sommeil. On ne peut parler d'énurésie qu'à partir de 5 ans, car c'est l'âge ou le contrôle physiologique du sphincter vésical (de la vessie donc) est acquis.

(Source : http://www.doctissimo.fr/html/sante/encyclopedie/sa_863_e.htm )

 

A toutes et à tous, une belle journée."

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Nouveau guide pour les MAM

Publié le par Isabelle (nounou)

J'ai récemment reçu un mail par le biais de mon blog, de la part du ministère des Familles, de l’Enfance et des Droits des femmes qui m'informait de la parution d'un guide relatif aux Maisons d’Assistants Maternels (MAM).

 

Je vous donne donc le lien pour pouvoir accéder à ce guide.

 

Bonne lecture !!

 

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Les peurs de l'enfant selon son âge

Publié le par Isabelle (nounou)

Les peurs de l'enfant selon son âge

Document trouvé sur Internet.

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Du nouveau concernant l'allocation de formation!

Publié le par Isabelle (nounou)

Source Site www.iperia.eu

REVALORISATION DE L’ALLOCATION DE FORMATION POUR LES ASSISTANTS MATERNELS

Jeudi 14 Janvier

Au 1er janvier 2016, l’allocation de formation pour les assistants maternels du particulier employeur est passée à 3,48€ nets par heure, suite à l’augmentation du SMIC. Cette allocation est versée lors d’un départ en formation dans le cadre du plan de formation, en dehors du temps d’accueil. Par ailleurs, pour tout départ en formation, les frais de vie sont entièrement pris en charge (transports, hôtels, repas…).

Du nouveau concernant l'allocation de formation!

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La position assise.... OUI si elle est acquise, NON si elle est imposée

Publié le par Isabelle (nounou)

Je vous fais partager un article qui explique en détails pourquoi on ne doit pas asseoir les bébés tant qu'ils ne sont pas capables de s'y installer et de s'en sortir seuls.

La position assise.... OUI si elle est acquise, NON si elle est imposée
La position assise.... OUI si elle est acquise, NON si elle est imposée
La position assise.... OUI si elle est acquise, NON si elle est imposée
La position assise.... OUI si elle est acquise, NON si elle est imposée
La position assise.... OUI si elle est acquise, NON si elle est imposée

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Les enfants et les écrans

Publié le par Isabelle (nounou)

Par le RAM, nous avons été conviés récemment à une réunion concernant les écrans et les enfants mais je ne m'y étais pas rendue.

En navigant sur internet j'ai trouvé ce qui me semble être un très bon résumé sur la question.

 

Je vous fais donc partager ce que j'ai trouvé sur le site belge :

 

Pas de TV AVANT 3 ans :
L'enfant a d'abord besoin de mettre en place ses repères spatiaux, puis temporels. Les premiers sont construits à travers toutes les interactions avec l'environnement qui implique ses sens, et les seconds à travers les histoires qu'on lui raconte et les livres qu'il feuillette.
Evitez la télévision et les DVD dont les effets négatifs sont démontrés.
Les tablettes tactiles peuvent être utilisées au même titre que tous les jouets traditionnels, mais dans un accompagnement ludique.

Pas de console de jeu AVANT 6 ans :
Evitez la TV et l'ordinateur dans la chambre.
Fixez des horaires aux écrans et respectez les âges indiqués pour les programmes.
Préférez les jeux vidéos que l'on joue à plusieurs à ceux que l'on joue seul : les ordinateurs et les consoles de salon peuvent être un support occasionnel de jeu en famille, voire d'apprentissage accompagnés.
N'offrez pas une console ou une tablette personnelle utilisable à tout moment à votre enfant : à cet âge, jouer seul devient rapidement stéréotypé et compulsif.

Pas d'Internet seul AVANT 9 ans :

Evitez la TV et l'ordinateur dans la chambre.
Etablissez des règles claires sur le temps d'écrans.
Paramétrez la console de jeu du salon.
A partir de 8 ans, si vous créez un compte pour votre enfant sur l'ordinateur familial, expliquez-lui le droit à l'image et le droit à l'intimité.

Pas de réseau social AVANT 12 ans :
Continuez à établir des règles claires sur le temps d'écrans.
Déterminez avec votre enfant l'âge à partir duquel il aura son téléphone mobile.
Rappelez régulièrement les 3 règles de base d'Internet à assimiler par tous:
1/ tout ce que l'on y met peut tomber dans le domaine public;
2/ tout ce que l'on y met y restera éternellement
3/ tout ce que l'on y trouve est sujet à caution : certaines données sont vraies et d'autres fausses.

APRES 12 ans :
Votre enfant "surfe" seul sur la toile, mais convenez d'horaires à respecter.
Evitez de lui laisser une connexion nocture illimitée depuis sa chambre.
Discutez avec lui du téléchargement, des plagiats, de la pornographie, du harcèlement,...
Refusez d'être son "ami" sur Facebook.

Les enfants et les écrans

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